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Gilles Bindi Berlin Réalisateur scénariste

hello.

présentation en quelques phrases

Je suis auteur et réalisateur passé par Louis Lumière et la Fémis.
 
J'ai réalisé plusieurs courts et moyens-métrages de fiction.

 
J'ai beaucoup travaillé pour la télévision également (documentaires, émissions, reportages).

Ces dernières années, je me suis concentré sur l'écriture. 

Je suis aujourd'hui en développement-financement d'un long-métrage avec Sensito Films, et continue de travailler sur divers projets de livres, séries, films.

ou en version romanesque

Gilles Bindi est né à Mulhouse, petit-fils d’immigrés venus d’Italie et de Pologne pour travailler dans les mines de potasse. Il grandit avec une génération qui pensait être chanceuse d’avoir 20 ans en l’an 2001, mais qui a finalement reconnu Kurt Cobain comme son héraut.

 

Il passe l’année de ses 5 ans à l’hôpital. Il en garde une cicatrice en travers du ventre qui pourrait faire croire qu’on l’a coupé en deux.

 

De 6 à 18 ans il pratique le théâtre. Il obtient des prix au conservatoire de sa province en jouant Figaro ou Perdican. Il étudie la sociologie avant de passer par Louis Lumière, la Fémis et le Celsa.

 

Il exerce le métier de chef-opérateur avant de devenir réalisateur. Il signe son premier court-métrage grâce à la Collection Canal+. Un Beau Jour, un Coiffeur fait le tour des festivals du monde et gagne de nombreux prix. Il poursuit avec Quand passent les Géants avec Adrienne Pauly, Les Cybernautes rêvent-ils d’Amours digitales ? une comédie romantique avec Max Boublil, Ophelia Kolb et Judith Magre, Fin de Saison drame estival avec Patrick Bouchitey qui confronte des ados à la question des migrants et enfin GGG, fable futuriste dans laquelle les individus sont notés en fonction de leur utilité.

 

Il réalise également des documentaires mais fait le choix de la fiction.

 

Il a aujourd'hui plusieurs projets de longs-métrages et de séries, cultivant des genres opposés qui représentent les deux facettes de son tempérament. Il y a celui qui aime l’humour dans des teintes absurdes ou noires. Il y a celui qui aime la nuit, Tennessee Williams, Radiohead, Fassbinder et The Hours. Dans son travail reviennent souvent les thèmes de l’errance, de la marginalité et de l’empathie.

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